Présentation des perso en mode RP

Le courrier était peu explicite, et Délivrance était peu bavarde quand à ce qui c'était passé à Khortos.
Mais sa lettre tombée bien, j'en avais marre de trainer avec cette bande de gueux qui se faisait appeler garnison pour soigner leur blenno attrapée avec les putes de la taverne d'à côté. En général , je leur disais qu'y avait qu'à couper et cautériser, et ils allaient déjà mieux.
Me voilà dans ce trou à rats, pour aider la petiote qui bécasse comme elle est, est capable encore d'avoir fait des conneries ou d'avoir confondu une bande de traine savates pour des gentilshommes avec sa fâcheuse manie de voire le bien en chacun. Chacun sait que l'humain est pourri et les autres races s'est pire. En attendant, après un trajet agrémenté d'une jolie tempête, et une ballade jusqu'à Khortos agrémentée de quelques bastons avec des poissons sur pattes, je suis arrivé à ce magnifique bled et quand on le voit, on se dit que ses habitants ont du gravement offensé les dieux pour être condamnés à vivre ici.
Après avoir élu domicile à la seul taverne , il se confirme bien qu'elle est passée là. Elle s'est faite remarquer avec une bande de paysans mal dégrossis qui se prenaient pour des héros surement et qui pour se donnait du courage et pouvoir agiter leur arme devaient se bourrer la gueule.
Il semble qu'elle soit partie avec quelques uns d'entre eux délivrer la fille du maire! j'espère pour eux qu'ils n'ont rien à voir avec son absence ou je leur coupe les bijoux de famille et les cloue à la porte d'une grange pour éloigner les chauve souris, aux moins leur paire de c servira enfin à quelque chose. Elle n'est pas revenue depuis, je crains pour elle.
Hu

Mes crainte se confirment, elle n'est toujours pas revenue. C'est simple, je trouve une bande de blaireaux et je leur promets n'importe quoi pour faire un tas de viande entre moi et les ennuis, je passe par là où elle est passée et je trouverai bien où elle se planque, elle ou son cadavre. Je vois déjà une elfe noire. elle a pas l'air d'être en paix avec le monde, elle doit avoir soit besoin d'argent, soit besoin de discrétion, je vais aller lui parler.
hu

Alors qu'elle s'approchait de la table de l'elfe noire, elle ne put retenir un mouvement de surprise en apercevant un forgelier se diriger vers le comptoir. Il correspondait à la description d'un des membres du groupe de Délivrance.
Après un bref instant d'hésitation, elle continua vers la table de l'elfe.


Bonjour, " vous permettez"

et sans plus attendre elle s'assit observant de plus près celle qu'elle avait déjà repérée depuis plusieurs jours.

J'ai l'habitude d'être directe, cela fait plusieurs jours que vous êtes ici et moi pareil.
Soit vous cherchez la discrétion pour vous enterrer das ce trou perdu, soit vous attendez quelqu'un ou encore vous cherchez à aller ailleurs coincée ici par les glaces mais dans tous les cas , vous pouvez m'aider et peut être vous aider par la même occasion.
Je cherche une amie qui a disparue. Un peu bêtasse, prête à aider le premier pékin venu enfin vous voyez le genre, mais je l'aimais bien , c'est comme cela, on s'attache même au plus bâtard des clebs.
J'ai parlé de sa disparition à une connaissance, un officier nouvellement promu qui appartient à une jeune guilde "les aventuriers du temps" afin qu'il m'aide. Ces jeunes officiers sont toujours faciles à manipuler, un clin d’œil, un compliment enfin je vous fais pas un dessin vous connaissez les hommes. mais il a de l'or et c'est cela qui m’intéresse et puis un protecteur c'est toujours bon à avoir dans sa poche.
je veux refaire le parcours qu'elle a fait depuis son arrivée ici et si vous jetez un coup d’œil discret vers le bar vous verrez un forgelier.
Il était dans la même bande que mon amie, faudrait le faire parler pour savoir où aller et engager quelques mercenaires pour refaire le chemin.
je suis prête enfin, pas moi mais mon protecteur à vous offrir une bourse 200 Pièces de platine pour trouver des compagnons d'armes. Vous les engagez, leur promettez ce que vous voulez , vous les achetez peu importe, ce qui reste de l'or est à vous. Par contre je suis du voyage et ce qui vient d'être dit reste entre nous.
on fait affaire?


Hu

En entrant dans la taverne Daerdon remarqua 2 femmes drows qui se tournèrent vers lui, le regardant curieusement.

Tendu Daerdon se prépara à l'affront pensant qu'il s'agissait peut être de femme l'ayant reconnus.

ce n'est que lorsque un d'entre-elle lui fit un petit sourire et l'autre un clin d’œil avant de se remettre à parler entre-elle, qu'il se décontracta.

C'est alors qu'il remarqua Insanathalia et se fût un véritable choc.

Bien quelle semblait occuper avec une autre personne Daerdon s'approcha de la table et en l’apercevant Insanathalia se leva d'un bond en le reconnaissant, il lui fit les signes de paix que seul les drows peuvent interpréter (tout en vérifiant que les 2 autre drows ne regardaient pas vers eux.

Puis s'adressant à elle en drow (chuchotant pour éviter que les 2 autres drows ne l'entende), il lui dis :

Insanathalia je n'aurais jamais pu imaginer te rencontrer ici ! non je ne suis pas un fantôme bien que j'aurais préféré mourir se jour la, c'est bien moi !

De tout les drow que je connais tu fait partie des rares dont je suis heureux de revoir. J'espère que depuis notre dernière rencontre tu n'a pas changer d'opinion et que tu reste fidèle à tes principes !

Si ce n'est pas le cas alors tue moi tout de suite plutôt que d'aller leur dire que je suis encore en vie !

Toujours assise à la même table, Insanathalia rumine la suite de son plan tout en gravant, de la pointe de son couteau, une petite araignée dans le bois tendre du mobilier.

Ce même couteau avec lequel, trois mois plus tôt, elle avait froidement tranché la gorge de ses parents.

Ils l'avait bien mérité. Spécifiquement sa mère, cette prêtresse de Vulkoor, qui professait la supériorité des mâles dans la société Drow, sous prétexte que le Dieu-Scorpion favorisait ces derniers pour la transfomation en Scorrows, ce que sa mère, au même titre que le reste du clan, considérait comme une « bénédiction ».

Quelle décadence.

Du temps de la grandeur de la race Drow, du temps de Lolth et des Matrones Sanglantes, la transformation était une punition. Recevoir la métamorphose en Drider, c'était devenir un paria, un exilé, condamné à errer dans la fange et les détritus à la recherche de sa pitance. Mais avec la décadence et le déclin dans la foi envers les valeurs de la Voie Ancienne, cette métamorphose fut de plus en plus perçue comme une bénédiction. Le culte de Vulkoor, secte mineure, tabla sur cette perception nouvelle pour gagner en puissance - il faut dire que la transformation en Scorrow offrait des avantages certains par rapport à la forme Drider; le dard et les pinces s'avérant redoutables au combat.

Quelle décadence!!!

Aujourd'hui, le culte de Vulkoor, dominé par les mâles, tient les rennes de la société Drow. Du temps de la grandeur de la Voie Ancienne, un mâle connaissait sa place. Aujourd'hui, toutes les sphères du pouvoir sont dans leurs mains.

Cela doit changer.

Sa mère méritait de mourir. Elle avait été corrompue, comme tant d'autres. Sa mère, quelle sotte! Elle s'écrasait devant les désirs et les ordres de son père. Une Drow obéissant à un mâle! C'est de l'hérésie, un symbole de la bassesse dans laquelle s'est plongée la société Drow, qui n'est plus que l'ombre d'elle-même.

Cela va changer!!!

Insanathalia se remémorait avec délice les tortures qu'elle avait fait subir à son père, sous le regard horrifié de sa mère. Elle avait gravé dans son torse le symbole interdit de Llolth, avant de glisser dans ses entrailles mises à nu le cocon d'une araignée de verre sous le point d'éclore. Elle avait regardé la jeune araignée se repaître du corps toujours vivant de son père, avant de lui trancher la gorge. Elle avait recueilli le sang paternel pour en asperger la tête de sa mère, qu'elle offrit en sacrifice à Llolth. Elle avait ri lorsque le cri de sa mère s'était évanoui en un gargouillis liquide, au moment où ce fut au tour de sa jugulaire de s'ouvrir et de verser le sang béni.

S'en était suivi la fuite nécessaire - tout le clan s'était réveillé en émoi.

Ironiquement, sa fuite fut rendue possible par le secours d'un mâle, un ami d'enfance, qui connaissait sa place: Daerdron. Insanathalia le méprisait profondément, comme tous les mâles d'ailleurs. Mais celui-ci avait démontré une certaine ouverture au culte de Llolth; aussi elle se montrait indulgente. Il avait risqué sa vie pour elle. Ce n'était pas suffisant, mais c'était un début.

Il lui fallait, après tout, des alliés.

Une révolution ne peut se faire à elle seule.

Contemplant l'araignée profondément gravée dans le bois, absorbée dans ses pensées, elle fut interrompue par une belle femme, à l'esprit frondeur, au regard calculateur et froid, ce qui lui plaisait, et qui l'entretenait d'une offre.

Un travail de mercenaire, comme on en voit souvent offerts dans ces tavernes recluses. Il était question de partir sur les traces d'une disparue, une petite gourde qui n'était pas revenue de sa mission, laquelle consistait à sauver une autre idote, apparemment la fille du maire celle-là. Ce travail payait bien: 200 pièces de platine, au bas mot. Une belle somme, qui lui donnerait un accompte suffisant pour la suite de son plan. Les armes sont chères, et une révolution nécessite de l'or pour se conrétiser.

Insanathalia s'apprêtait à accepter, lorsqu'elle eut la surpise de voir entrer, dans le bar, nul autre que Daerdron.
Ce dernier lui fit le signe de Llolth, et se précipita vers elle, coupant la parole de la nouvelle venue. Il était peut-être un ami d'enfance lui ayant permi de s'échapper, mais Daedron venait, à ce moment, de faire preuve d'une inconvenance qui, selon la Voie Ancienne, lui mériterait le fouet.

Ingorant tout de sa présence en ce lieu, la propre fuite de ce dernier pour des causes aussi futiles que l'amour, Insanathalia lui lança un regard glacial, qui stoppa net son flot de paroles.

- Daerdon. Bien que je sois heureuse de voir que tu soit toujours en vie, tu oublies ta place. On ne parle pas à une femme avant d'en être invité, encore moins lui couper la parole.

Le regard de la Matricide s'adoucissa néanmoins, l'espace d'un instant. Oui, elle était heureuse qu'il soit toujours en vie. Il pouvait encore lui être utile.

Retournant son attention sur la nouvelle venue, Insanathalia dit:

- Veuillez pardonner cette inconvenance. Ce mâle oublie parfois les enseignements de la Voie Ancienne. Pour en revenir à notre discussion, j'accepte votre proposition, sous deux conditions: primo, je veux un accompte sur la récompense. Secundo, ce petit imbécile ici présent, du nom de Daerdron, sera également du voyage - je m'en porte garante, et saurai le punir de manière appropriée s'il manque à nouveau de respect envers une femme de votre stature, Miss...?

Souriant intérieurement Daerdon constata qu'Insanathalia n'avait pas changé. Elle croyait dur comme fer qu'il fallait revenir aux anciennes tradition et croyance ou les hommes n'étaient que des esclaves.

Vénéré ce monstre arachnide de Lolth à la place de cet autre monstre qu'est Vulkor, autant ce suicidés tout de suite.

Toutes mes excuse Insanathalia, j'ai peut être été imprudent mais devrait-je te rappelé que sans moi tu serait actuellement suspendu par un crochet ou pire.

Ensuite la raison pour laquelle je suis ici n'a rien avoir avec notre projet, mais je ne peut plus retourner dans notre cité ni aucune cité drow actuellement car je mettrais en danger tout ceux qui seraient avec moi.

Quand je pense quelle ose parler de punition alors que seul les mâles drow pouvaient subir la punition d'être transformer en drider et d'être bannis, les femmes drows quand à elles étaient tout simplement exécutés.

Espère toujours que je t'aide à revenir à l'ancien système, pauvre folle, si adoré le dieu Vulkor c'est une aberration, se remettre à adoré cette monstruosité de Lolth serait encore pire.

Le véritable but de Daerdon c'est d'avoir une liberté totale pour tout les drows ainsi qu'un libre choix et non que les hommes ou femmes drow réduisent les opposé sexuel en esclavage

Étant un lointain cousin du premier Drow à s'être opposé à Lolth, Le fameux Drizzt do Urden, depuis toujours il admirais son courage et sa force d'esprit pour avoir lutter jusqu'au bout contre l'oppression.

Insanatalia servait ses dessins pour l'instant en préparant un révolte, mais de son coté Daerdon lui préparait à montrer à tout les peuples et surtout à certains drow que d'adoré des monstres comme Vulkor ou Lolth c'est comme se jeter du haut d'un précipice avec un fleuve de lave au fond.

Enfin des nouvelles, vagues certes, mais qui donnaient un début de piste pour retrouver Délivrance. Ces quelques phrases même si elles ne donnaient aucun espoir, lui donnait quelque chose à faire. Elle sentait bien que si elle restait encore dans ce village à tourner en rond, il faudrait qu’elle casse quelque chose. Restait à faire passer l’info à la drow, prévenir son commanditaire de lui faire passer l’argent et se tenir prête à partir.
Elle rédigea un mot reprenant les propos du forgelier et demanda au tavernier de le faire passer à celle qu’elle présenta comme son employeur.
Puis, réfléchissant à Délivrance, elle se demanda ce qu’elle allait faire dans cette galère.
Sur ces réflexions peu amènes envers son amie, elle se dirigea vers sa chambre, pour envoyer un des derniers pigeons voyageurs qui lui restait à son protecteur.
Hu

alcaz zelzer se trouve dans l'incapacité de contacter les dieux de la connexion internet...(problème d'ordi)